Mon top 2023

Pas de fin ou de début d’année sans top. Le mien comporte des œuvres de toutes les époques (pour plus d’honnêteté et de variété), mais découvertes et appréciées en 2023 !

Films et séries

The Fabelmans, Steven Spielberg, 2023

Under the Skin, Jonathan Glazer, 2013

Tempura, Akiko Ohku, 2020

Les goûts et les couleurs, Michel Leclerc, 2022

Videodrome, David Cronenberg, 1983

Frances Ha, Noah Baumbach, 2012

Les 2 Alfred, Bruno Podalydès, 2020

Top Gun 2: Maverick, Joseph Kosinski, 2022

Le règne animal, Thomas Cailley, 2023

Mars Express, Jérémie Périn, 2023

L’innocent, Louis Garrel, 2022

Sous contrôle, Charly Delwart, 2023

The White Lotus, Mike White, 2021

Jeu vidéo

Sifu, Sloclap, 2022

Rollerdrome, Roll7, 2022

A Plague Tale: Requiem, Asobo Studio, 2022

Battlefield 1, DICE, 2016

Dead Cells, Motion Twin, 2018

Livre

Anne Wiazemsky, Un an après, 2015

Margaret Atwood, La servante écarlate, 1985

Aaron Cometbus, Un bestiaire de bouquinistes, 2020

Julia Armfield, Our Wives Under the Sea, 2022

Sylvia Plath, Ariel, 1965

Virginie Despentes, King Kong Théorie, 2006

Clémentine Beauvais, Songe à la douceur, 2016

Nikos Kokantzis, Gioconda, 2002

Arthur Machen, Histoire de la poudre blanche, 1895

François Bégaudeau, L’amour, 2023

Jeph Loeb, Tim Sale, Un Long Halloween, 1996

Musique

Youth Lagoon, Heaven is a Junkyard, 2023

PLK, 2069′, 2023

Elli Ingram, Bad Behaviour, 2023

Mary Lattimore, Goodbye, Hotel Arkada, 2023

Say She She, Silver, 2023

Cut Worms, Cut Worms, 2023

Jewel Usain, Où Les Garçons Grandissent, 2023

Camel Power Club, Narukanaga, 2023

Little Simz, No Thank You, 2022

Mes articles sur Critikat

J’ai commencé à écrire sur le cinéma pour le site Critikat en novembre 2011, et ma première critique portait sur un film assez médiocre de Tarsem Singh, Les Immortels, sorti fin 2011.

Le fonctionnement collégial du film était particulièrement intéressant : chaque article était relu à plusieurs reprises, et ces relectures donnaient lieu à des discussions avec d’autres rédacteurs, qui permettaient souvent d’améliorer les textes et de rendre les idées exprimées plus frappantes encore. Inutile que j’ai beaucoup appris au sein de l’équipe, appréciant par ailleurs la bienveillance qui régnait.

Le nombre assez élevé de rédacteurs et rédactrices (tous bénévoles) permettait par ailleurs de couvrir un nombre impressionnant de films, sorties cinéma, DVD ou autres. Au plus fort de son activité, dans les années 2010, le site était l’un des rares, je pense, à atteindre l’exhaustivité des critiques, certaines semaines.

Je garde un très bon souvenir de mon travail pour Critikat, qui me permettait d’assister à certaines avant-premières. Je jetais assez souvent mon dévolu sur des sorties un peu anecdotiques, des films qui promettaient d’être nuls, pour le dire directement : en pointer les défauts et manques permet aussi mieux cerner pourquoi une oeuvre audiovisuelle est marquante.

Parmi les moments de bravoure dont je me souviens particulièrement, un entretien avec le réalisateur roumain Cristi Puiu par Skype, depuis mon premier appartement parisien de 9 m2, ou la découverte d’un excellent film d’horreur, Angoisse de Bigas Luna.

Vous pouvez retrouver tous mes articles publiés sur Critikat à cette adresse.