Contes inquiétants – Eaux

Le projet Contes inquiétants doit réunir plusieurs anthologies horrifiques et fantastiques, chacune étant consacrée à un thème précis. L’objectif est de proposer des textes francophones uniquement, issus du domaine public, pour faire découvrir ou redécouvrir des auteurs du patrimoine.

Ce premier essai porte sur les eaux, qu’elles soient salées ou douces, tumultueuses ou dormantes, domestiquées ou à l’état sauvage… Le recueil compte huit textes courts ou nouvelles, ainsi que neuf images dans ses pages. Pour les choix des visuels, à l’intérieur ou sur la couverture, je me suis aussi tourné vers le domaine public, en m’efforçant de lier textes et illustrations.

L’ouvrage compte au total 176 pages, pour un format de 120×180 mm (fermé). Il a été imprimé en juillet 2025 à Nantes par AtlanMac.

Le journalisme d’immersion – Dépasser les apparences

Dans le cadre de mon Master I de Lettres modernes appliquées, en 2011-2012, j’ai consacré mon mémoire de fin d’année au journalisme d’immersion. J’ai étudié trois textes, tous publiés en français : Hell’s Angels de Hunter S. Thompson (paru en 1967, édition française Folio, traduction de Sylvie Durastanti), Tête de Turc de Günter Wallraff (1985, édition français Le Livre de Poche, traduction de Alain Brossat et Klaus Schuffels) et Le quai de Ouistreham de Florence Aubenas (L’Olivier).

Cette pratique journalistique n’a pas disparu, bien au contraire : dernièrement, Jean-Baptiste Malet, l’a mise en oeuvre pour une enquête (En Amazonie, Fayard, 2013), et elle surgit régulièrement, à l’occasion de différents reportages.

Le journalisme d’immersion pose des questions pratiques, éthiques, morales même, et repose sur un pacte assez équivoque avec le lecteur : il est ainsi intéressant de le questionner et d’en observer les limites autant que les possibilités.

`Je vous propose de télécharger ci-dessous le texte intégral de ce master, au format PDF (n’hésitez pas à me joindre à l’adresse antoineoury@gmail.com si vous souhaitez un format EPUB). Merci d’être indulgent·e, je ne l’ai pas revu – à l’exception de la couverture.