Lost in Translation est un film pratiquement né de la musique. Sofia Coppola en a écrit le scénario en écoutant les fameuses compilations « Tokyo Dream Pop », assemblées par Brian Reitzell.
Mon livre sur le long-métrage, Lost in Translation, étrangers familiers, ne pouvait donc pas faire l’impasse sur cet aspect. Outre l’étude des rôles de la musique et des effets sonores, j’ai pu l’aborder par un entretien avec Reitzell lui-même.
Si j’ai énormément écouté la bande originale de Lost in Translation — sa ressortie en vinyle a déclenché l’écriture de mon livre —, je suis aussi allé exploré le shoegaze, la dream pop et d’autres genres qui m’évoquent le long-métrage. J’ai réuni des morceaux dans une playlist, avec quelques règles : pas de titres ni d’artistes de la BO originale, et une seule place par artiste.
Voici donc 30 titres, pour 2h30 de musique, avec Still Corners, Ride, Timbuk 3, Diiv, Requin Chagrin, Domenique Dumont, Pale Saints, Brian Eno, Slowdive, Warpaint, Thurston Moore…
Le livre Lost in Translation, étrangers familiers est disponible en librairie et sur le site des éditions LettMotif.